Tous situés dans le même environnement, chaque bâtiment et chaque espace extérieur aura son propre A.D.N.
«Le quartier offrira un grand choix d’objets et de typologies différents pour répondre aux besoins de chacun. C’est pourquoi nous parlons de L’Orée… d’un choix.»
Alors que la vie en communauté croît constamment, je pense que c’est l’occasion pour les futurs habitants de pouvoir s’identifier à leur « chez-soi ». Qui plus est, je suis persuadé que cela sera bénéfique à notre espace commercial.
Qu’est-ce qui caractérise, pour vous, le projet de l’Orée?
Outre l’aspect architectural, c’est évidemment la diversité sociale qui apportera de la vie dans le quartier. Rien que dans la première phase de construction, nous prévoyons environ 300 appartements adaptés aux familles, pour lesquels la commune mettra à disposition une nouvelle école primaire avec des Unités d’accueil pour écoliers (UAPE) et une salle de sport. Nous espérons également pouvoir accueillir une crèche.
Les seniors pourront bénéficier d’un EMS, qui sera planifié et érigé par la fondation d’utilité publique « La Rozavère » et le canton de Vaud.
Des commerces de proximité et une offre gastronomique alimenteront le quartier pour les besoins quotidiens.
«La vision à long terme en matière de durabilité environnementale est également une caractéristique du projet l’Orée, et ce en utilisant le chauffage à distance local et l’énergie solaire, nous basons notre approvisionnement énergétique en majeure partie sur des ressources renouvelables.»
Le projet de l’Orée est singulier à plusieurs titres, quels sont pour vous les défis les plus importants?
Nous souhaitons un niveau élevé de diversité, ce qui entraîne naturellement de grands défis dans la phase de conception et exécution. Tant pour les différents acteurs que dans l’organisation, la gestion d’un projet de cette taille est complexe.
«Notre plus grand challenge est de créer un projet économiquement viable avec une offre très attrayante d’appartements et de locaux commerciaux bon marché.»